- La France, à besoin d’un marché (exchange) sur son propre territoire, protégé par le ministère des finances numérique, la cnil ou un truc du genre… vous comprendrez tous les bénéfices à retirer de cette oeuvre charitable, relié à un big data et une IA d’étude comportementale, le futur nous appartiendra aussi.
Bon j’avais d’autres choses à dire mais les vacances sont finis, fuck! je doit de nouveau me faire violence, me ramollir le bulbe rachidien, re-fréquenter mes con-citoyens!
– ah oui, pour taxé les bénefs des crypto-monnaies par contre vous avez vite réagit, pour les œuvres d’arts à plusieurs centaines de milliers d’€ par contre rien, les ferraris ça énerve tout le monde! on taxe, l’Or un signe extérieur de richesse ? bref … mot clé « autorité compétente » « prescription » « menier mustapha » « indépendance ».
Même si la musique de Björk ne vous plait pas, il y a des chances pour que vous conserviez tout de même le prochain album de l’artiste islandaise dans votre étagère.
Björk fait rarement ce qu’on attend d’elle. La chanteuse n’aime en effet rien tant qu’expérimenter, quitte parfois à déboussoler, mais c’est le privilège de tous les artistes.
De l’argent virtuel pour de la musique bien réelle
Pour son prochain album, Björk a décidé de nouer un partenariat avec Blockpool, une start-up britannique spécialisée blockchain. Utopia, l’album en question, pourra donc être acheté en cryptomonnaie, mais surtout il est fourni avec… de la monnaie virtuelle.
Le meilleur des deux mondes en quelque sorte, en achetant on reçoit de l’argent !
Chaque client d’Utopia recevra ainsi 100 Audiocoins, une monnaie chiffrée lancée il y a deux ans à destination de l’industrie de la musique. Un Audiocoin vaut environ 0,19 $. Mieux encore, ces fans de Björk pourront récupérer encore plus de cet argent virtuel en se rendant à ses concerts ou en interagissant avec la vedette sur les réseaux sociaux, par exemple. Source