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Le ciel blanc en occident

Le mot de M. Menier : Qu’ils sont loint, les étés de nos enfances…


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Vendredi 13 Oct 2017

J’observe avec une réelle joie un ciel quasi-net depuis près de 2 semaines, des événements internationaux semblent coïncider… bien que dans ce cas là, se devrait être similaire dans les autres pays aussi, d’autres raisons toutefois peuvent en être le but.

Bref, apprécions ce divin calme.

Jean-François Bergmann, médecin hospitalier : « Indirectement, ce sont les labos qui font et défont nos carrières »

Source : Libération
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Jean-François Bergmann, médecin hospitalier, ancien vice-président de la commission de mise sur le marché de l’Agence française du médicament.

Chef du service de médecine interne à l’hôpital parisien Lariboisière, le professeur Jean-François Bergmann a été vice-président de la commission de mise sur le marché de l’Agence française du médicament (ANSM, ex-Afssaps). Interview : 

Qu’en est-il des conflits d’intérêts entre labos et médecins ?

C’est un problème important, car les grands praticiens hospitaliers, que les labos appellent les «leaders d’opinion», peuvent orienter les prescriptions des médecins. C’est d’autant plus délicat qu’il est très difficile de mesurer à quel point ces liens avec les labos influencent la position de tel ou tel médecin.

Pourquoi sont-ils si répandus ?

Indirectement, ce sont donc les labos qui font et défont nos carrières. Pour avoir de l’avancement et des budgets de recherche, un praticien hospitalier doit signer des publications scientifiques. Pour cela, il faut participer aux essais cliniques, qui sont presque tous réalisés par l’industrie, faute d’argent public. Pour la même raison, ce sont les labos qui financent les formations et les frais de participation aux congrès. Ils profitent du vide laissé par les organismes publics pour occuper le terrain.

Que faudrait-il faire ?

Les budgets publics devraient être revus à la hausse. Il faudrait aussi que les médecins qui travaillent, presque bénévolement, pour les agences, soient aussi valorisés dans leur carrière que ceux qui collaborent avec les labos. Avec des collègues, on s’est battus pendant vingt ans pour cela, sans succès. Il y a une résistance de la hiérarchie universitaire, qui considère qu’expertiser un médicament, ce n’est pas de la recherche. C’est pourtant un sujet majeur : un médecin reconnu scientifiquement et financièrement est moins fragile.

Y a-t-il une amélioration depuis le scandale du Mediator ?

Au niveau des agences, c’est clair. Il y a une plus grande transparence, avec la diffusion en vidéo des réunions, et une meilleure prise en compte des liens d’intérêts pour renforcer l’indépendance. Maintenant, il faut accélérer la réévaluation des vieilles molécules et renforcer la pharmacovigilance [la détection des cas d’effets secondaires, ndlr], qui est tout sauf béton en France. Et attention de ne pas remplacer les liens d’intérêt par des liens de subordination aux politiques.

Que pensez-vous de la récente loi qui oblige les laboratoires pharmaceutiques à publier ce qu’ils versent aux médecins ?

Elle est insuffisante, car le gouvernement a cédé à la demande des labos, qui voulaient que les rémunérations les plus importantes (essais cliniques, contrats de conseil) restent secrètes. Du coup, quand un labo fait une présentation dans mon service et invite les internes à déjeuner pour 17 euros par tête, c’est public. Par contre, si je deviens consultant pour 20 000 euros, on ne le saura jamais !

Les mentalités ont-elles changé ?

Depuis les récents scandales, tout le monde est plus prudent. Le labo GSK a par exemple annoncé qu’il ne rémunérerait plus les médecins pour promouvoir ses produits. Mais il y a encore des efforts à faire, y compris chez les médecins. Quand des professeurs sont payés par un labo pour parler d’un médicament à un congrès, il peut arriver qu’ils nous enfument. Mais avoir un esprit critique vis-à-vis de ces praticiens prestigieux n’est pas dans notre culture. Il y a dix jours, j’étais invité à la journée des diabétologues libéraux, financée par un labo. J’ai dit à ces collègues qu’ils devaient bosser pour se faire leur propre analyse critique de l’information sur les médicaments, et […].


Yann Philippin – Libération

Vaccins/Plombages : le mercure est-il un poison mortel oui ou non ?

Le mot de Mustapha Menier : Mercury is the Roman name for the Greek god Hermes, the protector of travelers, thieves and merchants. On the periodic table of elements, the chemical symbol for mercury is Hg, from the Latin word – Hydrargyrum – meaning liquid silver. For quite some time, we have known that high concentrations of mercury can be toxic to humans; the first account of mercury poisoning was recorded as early as 50 B.C. Today, we recognize that mercury is a neurotoxin and that high levels of exposure can lead to serious illness and, in extreme cases, death. Since the 1950s and 1960s, a growing body of scientific evidence has suggested that mercury emissions from human activities, called anthropogenic emissions, are having widespread impacts on environmental and human health.

Mercury is characterized by several unique properties that people have found both novel and useful through the ages. For example, it is the only metal that is a liquid at room temperature and it evaporates, or vaporizes, relatively easily. Mercury can also combine with other metals to make « amalgams », or solutions of metals, and has been used in the extraction of gold because of this property. One of the first metals to be mined, it was found in Egyptian tombs dating back to 1500 B.C. Mercury has been a part of the occult arts and human folklore and has been used in medicine, science and technology for millennia. In the modern world, there are many cultural, commercial and industrial uses for the metal still in practice.

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Il est plus simple, plus aisé d’éliminer le mercure des thermomètres (ce qui a été fait le 1er mars 1999 !), de l’enlever des piles de vos appareils électriques… afin de protéger l’environnement, que de discuter de sa dangerosité dans les vaccins que vous injectez à vos enfants. La médecine du travail en France peut faire stopper une usine de 1000 travailleurs pour quelques milligrammes de mercure de trop par mètre cube d’air mais on peut en mettre plusieurs grammes dans la bouche d’un adulte et en injecter 30 fois à un gamin de 6 ans qui a respecté le calendrier vaccinal !

Est-ce logique ? Est-ce acceptable intellectuellement parlant ? Certainement pas. Qu’est-ce qui rend impossible toute discussion sur ce sujet ? Le lobbying de Big Pharma et de ses laquais stipendiés à coups d’enveloppes et de séjours luxueux gratuits…

Pourtant, un nombre très important de livres existent sur la question de l’intoxication au mercure, heureusement réversible, dont par exemple : Vérités sur les Maladies émergentes (2015) et Maladies émergentes : comment s’en sortir ? (2015) de Françoise Cambayrac dont on a maintes fois parlé, sans oublier celui du Dr Jean-Pierre Willem, Les dégâts des métaux lourds : Prévention et détoxication naturelle (2014) et bien d’autres ouvrages traitant de cette question essentielle de santé publique ! Le déni des autorités est flagrant mais ce n’est plus qu’une question de temps avant d’en parler ouvertement dans les médias lourds, comme cela a été le cas pour l’amiante, le Mediator©… Malheureusement, d’ici là, les victimes seront encore plus nombreuses !

Pour les plus déterminés, voici le livre d’un avocat, Me Jean-Pierre Joseph, intitulé Vaccins – On nous aurait menti ? L’avis d’un avocat (2013) sous-titré Comment éviter la vaccination de vos enfants en respectant la loi ! Livre qui peut répondre à bon nombre de questions et d’inquiétudes des parents.

Monsanto connaissait le danger du PCB mais a continué à le vendre

© Patrik Stollarz, AFP | Monsanto a alerté en interne sur les dangers du PCB au moins à partir de 1969.
Texte par Sébastian SEIBT 

Des documents internes analysés par le journal britannique The Guardian prouvent que le géant de l’agrochimie Monsanto connaissait la toxicité du PCB de nombreuses années avant de décider d’arrêter la commercialisation de ce dérivé chimique.

Le PCB (Polychlorobiphényle) n’a pas fini d’entacher la réputation de Monsanto. Le géant de l’agrochimie a continué à vendre ce dérivé chimique pendant plusieurs années après avoir découvert sa forte toxicité pour l’environnement à la fin des années 1960, a affirmé le quotidien britannique The Guardian, jeudi 10 août.

Pour en arriver à cette conclusion, le journal a examiné les « poison papers« , plus de 20 000 mémos internes, correspondances privées et autres documents d’entreprises du secteur chimique, mis en ligne début août par le projet Bioscience Resource et le Center for Media and Democracy.

« Problème écologique mondial »

L’un de ces documents – un plan de dépollution de 1969 établi par Monsanto – évoque la forte toxicité du PCB et souligne les risques judiciaires encourus pour l’entreprise à cause de sa commercialisation. « Monsanto confirme que les PCB [il y en a plus de 100 sortes] sont un problème écologique mondial », peut-on lire dans cette note. Les auteurs expliquent que les « États-Unis, le Canada et une partie de l’Europe, spécifiquement le Royaume-Uni et la Suède, sont particulièrement touchés, mais des preuves de contamination [de l’environnement] ont été décelées dans des zones très reculées du globe ». À l’époque le risque pour la santé humaine n’était pas encore établi et ne le sera que plus tard, à partir du milieu des années 1970.

La mise en garde des auteurs du plan de dépollution n’a pas empêché Monsanto de commercialiser ses produits chargés en polychlorobiphényle jusqu’en 1972. Le groupe a même continué à vendre du PCB pour certaines applications dans l’électronique jusqu’en 1977. Un attachement qui s’explique : ce dérivé chimique a été l’une des poules aux œufs d’or de Monsanto depuis les années 1935. Le groupe a notamment inondé le marché du BTP avec sa gamme Aroclor, contenant ce polluant très toxique. En France, le PCB a longtemps été assimilé au pyralène, le nom commercial d’un produit de Monsanto.

Le plan de dépollution n’est pas la seule trace écrite prouvant que Monsanto avait conscience de l’impact sur l’environnement et la santé de son produit bien avant d’en arrêter la commercialisation. Deux autres documents de 1969 – un mémo interne, et une présentation à un comité interne du groupe– soulignent, par exemple, la « forte toxicité du PCB pour les oiseaux ».

Les auteurs de ces alertes conseillent de « reconnaître qu’il existe de plus en plus de preuves de l’impact sur l’environnement » lorsque les autorités « démontreront au cas par cas la contamination ».

Double discours

Les pays ont commencé à hausser le ton contre le PCB à partir du début des années 1970. La Suède et le Japon ont imposé un moratoire sur l’utilisation de ce produit « en environnement ouvert » à partir de 1972. Les États-Unis l’ont déclaré « hautement toxique » et « posant un risque significatif pour la santé humaine et des animaux ». L’idée d’un risque pour l’homme a été longtemps officiellement combattue par Monsanto.

Pourtant, là encore, le discours est très différent en interne. Dans un document de 1975, un responsable « produit » de Monsanto reconnaît que le PCB « peut avoir des effets permanents sur le corps humain ». Il détaille même : « une courte exposition peut entraîner des irritations aux yeux et des problèmes respiratoires » tandis qu’un « contact prolongé peut sérieusement endommager le foie ». Il conclut que le PCB pourrait même entraîner la mort. Pourtant, en préambule de ce document, ce responsable précise qu’il convient de dire officiellement que « la bonne manipulation du produit ne pose aucun risque environnemental ou sanitaire, ce qui permettra à la société de continuer à utiliser un produit qui compte beaucoup » pour Monsanto.

Ces révélations sur le double discours de Monsanto pendant des années au sujet du PCB interviennent à un mauvais moment pour le groupe. Aux États-Unis, il est poursuivi en justice pourfinancer les opérations de dépollution de certaines zones où des traces de polychlorobiphényle sont encore présentes (ce produit peut continuer à polluer pendant des décennies). Une procédure qui pourrait coûter des milliards de dollars à Monsanto… ou à Bayer, le géant allemand qui attend le feu vert de l’Europe pour boucler le rachat de son concurrent américain.

« Ces documents, s’ils sont authentiques, confirment que Monsanto connaissait les dangers de son produit et a préféré le cacher pour pouvoir continuer à en profiter financièrement », a commenté le bureau du procureur général de l’État de Washington, à l’origine de la procédure judiciaire. Contacté par The Guardian, Scott Partridge, le vice-président de la stratégie de Monsanto, n’a pas contesté l’authenticité des documents mais a soutenu que le groupe « n’a jamais illégalement commercialisé » du PCB. Tant que ce n’est pas illégal, tout va bien alors…


>> À lire aussi sur France 24 : Agent orange au Vietnam : la justice sud-coréenne condamne Monsanto

Un collectif va lancer une action de groupe «Nous allons attaquer en justice quatre laboratoires pharmaceutique»

Les familles accusent des vaccins produits par Sanofi, Pfizer, Eli Lilly et GlaxoSmithKline d’avoir rendu leurs enfants autistes.

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L’association Autisme Vaccination, accompagnée de près d’une centaine de familles, va lancer une action de groupe contre quatre laboratoires pharmaceutiques en septembre prochain auprès du Tribunal de Grande instance de Paris, rapporte Le Parisien lundi. Ces parents accusent les vaccins d’être à l’origine des troubles autistiques de leurs enfants.

source: Europe1

Vaccins : 3 actions pour sauver nos enfants !

Chère amie, cher ami, 

Le temps est à l’action !
Nous avons jusqu’au 8 août 2017 pour nous mobiliser afin de faire reculer la ministre de la Santé, Madame Agnès Buzyn, sur la question des 11 vaccins obligatoires.
A cette date, le Gouvernement devra prendre une position officielle par rapport à la discordance existant entre l’obligation vaccinale qui concerne trois maladies (Diphtérie, tétanos, poliomyélite) et les vaccins proposés par les laboratoires qui couvrent cinq ou six maladies. 
En Europe, quelques pays imposent la vaccination obligatoire. La France (3 vaccins), l’Italie (12 vaccins), la Belgique (1 vaccin) , le Portugal (2 vaccins), la Roumanie (10 vaccins).Dans les autres pays, la vaccination est fortement recommandée mais libre. En Suède, l’obligation vaccinale a été jugée inconstitutionnelle. Or dans ce pays, la couverture vaccinale est de 96%…
L’obligation est-elle vraiment nécessaire?
En France, si vos enfants ne sont pas vaccinés contre la diphtérie, le tétanos ou la poliomyélite, vous risquez d’être condamnés pénalement. La peine encourue peut aller jusqu’à 2 ans de prison et 30 000 euros d’amende.
Ne pas vacciner vos enfants contre ces trois maladies fait de vous un délinquant. 
Les vacciner, alors que vous savez qu’ils pourraient mal réagir (Si par exemple votre aîné a eu des problèmes avec un vaccin) et en subir des conséquences dramatiques toute leur vie, fait de vous un tortionnaire.
Cela vous paraît violent ? Vous avez raison. C’est la violence de la loi, qui en l’occurrence, est la loi du plus fort, celle des laboratoires pharmaceutiques. Ils imposent leur volonté et leurs agendas aux responsables politiques, qui obtempèrent.

Un cas de conscience

Dans le fond, personne ne veut que son enfant ne contracte de maladies graves comme le tétanos ou la polio.
Mais, tout le monde sait aussi, pour l’avoir expérimenté à titre personnel, familial ou dans son cercle proche, que les vaccins ne sont pas sûrs à 100%.
Par exemple, les incidents liés à la campagne de vaccination contre l’hépatite B menée dans les années 90 ont été légions. Ils ont donné lieu à des procès. Les victimes ont gagné. La Cour de cassation a reconnu dans différents arrêts qu’il existait un lien entre la sclérose en plaques et ce vaccin.
La Cour européenne de Justice a elle aussi validé récemment l’existence d’un lien de cause à effet entre une vaccination contre l’hépatite B et l’apparition d’une sclérose en plaques.
Peut-on, en conscience, continuer à obliger, sous peine de prison, l’administration de vaccins, dont on sait par ailleurs, qu’ils comportent un risque pour la santé ?
Nous devons empêcher ce gouvernement de commettre les erreurs des équipes précédentes. C’est pourquoi, je vous demande de signer notre grande pétition pour empêcher la mise en place d’une vaccination obligatoire à 11 vaccins !
Faites circuler autour de au maximum. Nous devons être 1 million de signataires !

ACTION 1 :

ACTION 2 :
En marche pour la liberté vaccinale !
Nous vous donnons par ailleurs, rendez-vous dans différentes villes de France pour une grande marche pour la liberté vaccinale le 8 juillet 2017.
Des rassemblements sont organisés à :
  • Paris, informations ici.
  • Nantes, information ici.
  • Grenoble, information ici.
Je me rendrai personnellement à la marche de Paris.
Car nous devons résister à cette tentative de passage en force des autorités. Cela me paraît d’autant plus nécessaire que nous avons tous les moyens à notre disposition pour mettre en place une politique de vaccination, concertée, intelligente et personnalisée.
Nous le savons désormais, comme l’a montré l’étude de l’Hôpital Sarcelles (94), nous ne sommes pas égaux face à la vaccination.
Cette étude menée sur le personnel hospitalier a révélé que des personnes pouvaient être vaccinées contre le tétanos et ne pas avoir les bons anticorps dans leur système immunitaire, alors qu’à l’inverse, des personnes non vaccinées étaient naturellement protégées.
La conclusion qui s’impose est simple : les scientifiques ont encore beaucoup de choses à apprendre sur la vaccination et l’immunité. Il serait donc bon d’avancer prudemment sur la vaccination.
Or aujourd’hui, le gouvernement nous propose une marche forcée !

Action 3 : Requête auprès de la Ministre, Madame Agnès Buzyn sur la question de l’aluminium

Les vaccins obligatoires sont toujours associés à l’aluminium. On sait désormais qu’il crée des maladies et notamment la myofasciite à macrophages.
Cette maladie invalidante est liée à l’aluminium présent dans le muscle des patients à l’issue de la vaccination.
Elle est apparue dans les années 90, au moment où les laboratoires pharmaceutiques ont décidé de changer le mode d’administration des vaccins : on les injectait en sous-cutané, désormais c’est en intramusculaire.
Le problème est que, si une partie de l’aluminium est évacuée, une autre partie reste dans le muscle, emprisonnée par des « macrophages », des cellules immunitaires. De là, l’aluminium se répand dans le corps par la lymphe. Si par malchance, le cerveau est touché, les conséquences sont graves : épuisement chronique, douleurs musculaires diffuses et troubles cognitifs.
Les patients ne peuvent plus travailler ni même avoir une vie sociale.
C’est la raison pour laquelle, avec Maître Jacqueline Bergel-Hatchuel, que vous connaissez bien désormais, nous avons décidé de lancer une nouvelle requête auprès de la Ministre de la Santé.
Cette fois, il s’agit de savoir pourquoi le gouvernement maintient l’aluminium dans les vaccins obligatoires alors que :
>> d’une part, de nouvelles études ont montré qu’il existait un lien entre l’utilisation de l’aluminium dans les vaccins et la myofasciite à macrophages,
>> et d’autre part, qu’il existe un autre adjuvant, le phosphate de calcium, pour lequel il n’existe pas d’effets secondaires connus.
Vous pouvez vous joindre à cette action en mandatant Maître Bergel-Hatchuel. Pour cela rendez-vous ici. 
Merci pour votre soutien et votre engagement à travers ces trois actions !
Continuons le combat.
Avec tout mon dévouement,
Augustin de Livois

Vaccins : « On ne peut pas restaurer la confiance en passant par l’obligation ! »

Source : Politis via LLP

(FILES) This file photo taken on November 25, 2009 shows a pupil receiving a vaccine against the A(H1N1) flu at a hight school in the western French town of Quimper. French Health Minister Agnes Buzyn said she was considering making eleven vaccines for children mandatory for a limited period in an interview with Le Parisien newspaper to be published on June 22, 2017. / AFP PHOTO / Fred TANNEAU


C’est totalement fou, ubuesque et imbécile. On est en pleine crise de confiance concernant Big Pharma en général et les vaccins en particulier et le gouvernement n’a rien trouvé de mieux à faire que d’imposer 8 autres valences afin d’engraisser davantage les patrons de l’industrie en augmentant leurs dividendes. Pour ce faire, rien de mieux que de faire appel à une ministre qui a travaillé de nombreuses années avec cette même industrie, donc soumise à sa stratégie et à sa puissance financière !


Biologiste et auteur de l’ouvrage Le Racket des laboratoires pharmaceutiques. Et comment en sortir (Les Petits Matins, 2015), la députée européenne Michèle Rivasi s’insurge contre la volonté de la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, de rendre onze vaccins obligatoires.  

Comment comprenez-vous la première mesure annoncée dans Le Parisien par Agnès Buzyn, nouvelle ministre de la Santé, consistant à passer l’obligation vaccinale en France de trois vaccins (DTP : diphtérie, tétanos, poliomyélite) à onze : DTP + coqueluche, rougeole, oreillons, rubéole, hépatite B, bactérie Haemophilus Influenzae (Hib), pneumocoque, ménincoque C ? C’est un scandale ! Nous sommes passés dans un État autoritaire qui fait fi de la responsabilisation des parents pour imposer onze vaccins…[…]


Ingrid Merckx – Politis

Bientôt 11 vaccins obligatoires au lieu de trois? La ministre de la Santé Agnès Buzyn y réfléchit

Le mot de Menier Mustapha : Vous souhaité vous procurer le DTP vaccination obligatoire pour votre enfant, mais celui-ci est indisponible en pharmacie… commandez le directement sur le site SANOFI PASTEUR EUROPE et suivez la procédure.


Benoit Tessier / Reuters
La ministre de la Santé voudrait rendre 11 vaccins obligatoires (au lieu de 3)

La ministre de la Santé Agnès Buzyn a annoncé dans un entretien au Parisien à paraître ce vendredi 16 juin qu’elle envisageait de rendre onze vaccins obligatoires.

« Aujourd’hui, en France, la rougeole réapparaît. Il n’est pas tolérable que des enfants en meurent. Dix sont décédés depuis 2008 », s’inquiète cette professeure en hématologie qui déplore que le vaccin soit recommandé et non obligatoire.

« Le taux de couverture est de 75 % alors qu’il devrait être de 95 % pour prévenir cette épidémie », juge la ministre qui voudrait rendre ces vaccinations obligatoires « pour une durée limitée, qui pourrait être de cinq à dix ans », déplorant que « le problème est le même avec la méningite ».

Actuellement, les vaccins obligatoires sont contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP). Pour la tuberculose, la coqueluche, la rubéole, la rougeole, les oreillons, la varicelle, la grippe, l’hépatite B, le zona, les infections à haemophilus influenzae de type B, à pneumocoque, à méningocoque C et les infections à papillomavirus humains, les vaccinations sont recommandées.

Texte de loi de Marisol Touraine

L’ex-ministre des Affaires sociales et de la Santé Marisol Touraine avait appelé Agnès Buzyn à reprendre son texte de loi étendant « l’obligation vaccinale à 11 vaccins », lors de leur passation de pouvoirs au ministère à Paris.

Evoquant « l’obligation vaccinale », sujet polémique sur lequel elle s’est « beaucoup engagée » mais qu’elle n’a pu « mener à son terme en raison du calendrier parlementaire et politique », Marisol Touraine avait expliqué avoir « préparé un texte de loi ».

Celui-ci prévoyait « l’extension de l’obligation vaccinale à 11 vaccins, selon la recommandation du groupe piloté par le professeur Fisher », avait déclaré Touraine, qui avait organisé une « concertation citoyenne » sur la vaccination en 2016.

Un comité avait ainsi recommandé en décembre de rendre « obligatoires » de façon temporaire jusqu’à 11 vaccins, contre trois actuellement, pour remédier à la « baisse de la couverture vaccinale » liée à la « perte de confiance » des Français dans la vaccination.

Lire aussi :

Les 3 vaccins obligatoires devront être vendus sans être associés à d’autres

Pourquoi seuls 30% des médecins, infirmiers sont vaccinés contre la grippe

« Éducation sexuelle » et « droits sexuels » : danger pour les enfants

Vous êtes ici chez les bons sauveurs!!! faites vos devoirs… dans le turfu le combat continue


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Voici une pétition lancée par des professionnels de la psychologie et de la psychiatrie et qui a pour objectif de dénoncer la sexualisation de l’éducation de nos enfants dès l’école primaire voire de la maternelle. Au lieu de s’occuper de l’apprentissage de la langue française et du calcul, des responsables politiques et des professionnels de l’éducation pensent qu’il est urgent de leur parler de… sexualité !!! Il n’y a rien de plus malsain et de plus abjecte que de faire une telle chose en piétinant la naïveté et l’innocence de l’enfance avec une problématique aussi complexe que la sexualité qui ne devrait intéresser que les adultes.


« Éducation sexuelle » et « droits sexuels » : danger pour les enfants

Nous, professionnels de la psychologie et de la psychiatrie, du psychotraumatisme et de l’enfance, dénonçons les risques de « l’éducation sexuelle » et des « droits sexuels » mettant en danger les enfants, sous couvert d’idéaux de « prévention » et « d’égalité ».

De fait, les plans gouvernementaux français sur « l’éducation à la sexualité », prenant source dans des textes internationaux portés par l’OMS, le planning familial et l’ONU, dont nous critiquons la dangerosité pour les enfants, sont en cours d’application dès la maternelle en France.

Ce site internet a été développé pour alerter, informer, donner un lieu d’expressiAu lieu de s’occuper de l’apprentissage de la langue française et du calcul, des responsables politiques et des professionnels de l’éducation pensent qu’il est urgent de leur parler de sexualité ! Il n’y a rien de plus malsain et de plus abjecte que de faire une telle chose en piétinant la naïveté et l’innocence de l’enfanceon et d’échange aux professionnels et être facteur de ressources documentaires.

Nous revendiquons, au regard des risques inhérents à de tels programmes, que soit entendu et pris en compte l’avis des professionnels spécialisés dans la psychologie, tout particulièrement de l’enfant et du psychotraumatisme.

Une pétition intitulée « Stop à la dangereuse imposture des « droits sexuels » et de « l’éducation sexuelle » a été créée.



La lettre d’appel de Maurice BERGER
« Éducation sexuelle » et « droits sexuels » : psycho-traumatisme

LES RISQUES MAJEURS DU PROGRAMME D’« ÉDUCATION À LA SEXUALITÉ »

Texte introductif – le 25-05-2017

En mars 2017, le gouvernement de l’époque a présenté son programme d’« éducation à la sexualité », déjà appliqué dans certains endroits, et en a annoncé la généralisation en octobre 2017 sous l’égide des ministères de la Santé et de l’Education nationale. Ce programme comprend deux volets, l’un consacré à la prévention, a attiré l’attention des médias qui, du coup, n’ont pas prêté attention au volet « éducation » qui présente des risques importants pour les enfants et adolescents concernés, risques décrits dans les documents qui suivent.

J’ai estimé nécessaire de rédiger un texte introductif à ces documents, car sans cette précaution, il est probable que le lecteur y réagira avec incrédulité, comme je l’ai fait moi-même. Car j’ai longtemps refusé de prendre ces informations au sérieux, il m’était impossible d’y croire. Et puis je suis allé vérifier les références indiquées, et j’ai constaté la validité de l’énorme travail de recherche effectué par mes collègues, groupe de professionnels psychologues et pédopsychiatres vigilants, « lanceurs d’alertes » dont je me fais le porte-parole ici.

Le volet prévention est d’une importance majeure. Il porte sur la prévention des maladies sexuellement transmissibles en particulier lors des premières expériences sexuelles, la contraception afin d’éviter des grossesses précoces, la possibilité de prendre une contraception et d’avoir recours à l’IVG sans accord parental, la possibilité de dire « non » face à des sollicitations sexuelles, l’interdiction d’avoir des relations sexuelles avec un mineur de moins de 15 ans ou entre mineurs s’il existe une grande différence d’âge, l’interdiction de mariage forcé, l’interdit de l’inceste avec des références à la dimension pénale, les violences sexuelles, l’égalité homme-femme, le fait qu’aucune forme de sexualité (pédophilie exceptée) ne doit faire l’objet de discrimination, etc.

Le volet éducatif soulève, lui, des questions inquiétantes. Pourtant de sages précautions sont préconisées pour aborder cette thématique, telles que le respect de l’intimité des mineurs, la nécessité de ne pas couper l’information du domaine affectif, la mise en place de groupes non mixtes (filles et garçons séparés) pour débattre de sujets délicats, un refus de tout prosélytisme de la part des intervenants qui doivent être en binôme. Mais à de nombreux endroits, il existe un écart énorme entre les intentions officielles et la réalité des pratiques, ce qui est déjà à l’origine de tensions entre les formateurs et les parents, les formateurs et les mineurs, les formateurs entre eux. Les recherches menées par notre groupe de travail montrent que ces dérives ne sont dues à des intervenants « atypiques », mais qu’elles sont liées à l’origine même de la notion d’ « éducation à la sexualité ». Sous l’influence de lobbies particuliers, ce terme est inscrit dans le programme de l’OMS, organisme appartenant à l’ONU, dans un programme intitulé « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe ». Nous y reviendrons. Voici quelques exemples parmi les situations ou actions qui paraissent être à risque.

Le premier risque est que les adultes prennent une place de séducteurs, initiateurs de la sexualité. Sur le site « onsexprime.fr » sous tutelle du ministère de la Santé, destiné aux mineurs à partir de la classe de cinquième, donc âgés de 12 ans, quel est l’intérêt de décrire les six positions de pénétration vaginale, dessins ludiques à l’appui, et comment se pratique la sodomie, et pourquoi les acteurs des films pornographiques éjaculent hors du vagin de leur partenaire ? On peut aussi s’étonner de l’absence d’intervention ou de limite posée par les adultes supposés réguler ce site …

Lire la suite de la lettre de Maurice BERGER, pédopsychiatre, ex-professeur associé de psychopathologie de l’enfant à l’Université Lyon 2


Site Pros contre éducation sexuelle

Une étude qui fait mal sur les liens entre labos et cancérologues

Une étude démontre que les prescriptions anti-cancer peuvent être influencées par des liens existants entre laboratoires et médecins.

Examen cancer du sein

Une patiente atteinte d’un cancer du sein examinée à l’Institut Curie, à Paris.


Dans la série   » les études qui dérangent « , un travail qui va être présenté le 3 juin à l’Asco (congrès américain sur le cancer à Chicago) jette un joyeux pavé dans la mare. Aaron Mitchell, oncologue, et sa collègue Stacie Dusetzina, épidémiologiste, tous deux de l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill ont voulu étudier les liens parfois sulfureux entre laboratoires et cancérologues pour mieux évaluer l’importance des conflits d’intérêt dans les prescriptions des oncologistes. Ici, seuls les avantages tels que le paiement des repas, les invitations à des congrès – et non le soutien des travaux de recherche- ont été pris en considération. Les auteurs se sont intéressés à des cancers pour lesquels les choix de traitements sont variés, en raison de la diversité des molécules commercialisées. Deux cancers répondant à ces critères, celui du rein avec métastases et la leucémie myéloide chronique, ont été choisis.

Le choix n’est pas du tout neutre !

Les chercheurs ont donc voulu savoir si le choix final établi par les prescripteurs parmi les différentes molécules disponibles sur le marché pouvait être influencé par les liens qu’ils entretiennent ou pas avec les laboratoires. Ils ont alors analysé les prescriptions et ont comparé celles des médecins exempts de tout lien avec les firmes à ceux qui avaient bénéficié de certaines largesses. Résultat, le choix n’est pas du tout neutre !

« Idéalement, les options thérapeutiques devraient être uniquement basées sur la preuve médicale et la préférence des patients », a déclaré le Dr Aaron Mitchell. De son côté, sa collègue, le Dr Stacie Dusetzina a elle aussi réagi : « Ce modèle est inquiétant car les efforts de promotion des entreprises pharmaceutiques ont tendance à se concentrer sur les nouveaux produits, ce qui peut orienter vers des traitements plus coûteux« . Ce travail n’est pas le premier du genre, d’autres études par le passé ont déjà démontré ces liens parfois sulfureux et toujours complexes à appréhender. Nul doute que dans ce domaine, la répétition à l’avenir de ce type d’études ne pourra que contribuer à une meilleure prise de conscience. Mais au fait, combien de congressistes réunis à Chicago sont-ils invités ?

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